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Lisez au sujet de H1N1.

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Lisez au sujet de H1N1. Empty Lisez au sujet de H1N1.

Message par Bekkouchekarim Sam 19 Sep - 3:22

Lisez au sujet de H1N1





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Bonjour,
Lisez le texte suivant du docteur Canadien JJ Crèvecoeur, qui est très courageux.
Ne
dites pas que ça ne peut pas arriver, que ce n'est même pas
envisageable, car si en 1939 on nous avait décrit ce qui allait se passer
dans les mois et les années à venir, on aurait pu d'emblée tout réfuter et
être incrédules. Mais c'est arrivé. Des millions de gens exterminés.

Dans
les prochaines semaines, souvenez-vous, quand les gens commenceront à
tomber vraiment malades et à mourir, les médias diront que c'est le méchant
virus mutant qui tue, alors que c'est le vaccin. Et la grande majorité des gens, paniqués, seront d'accord, sans réfléchir.
Voilà, c'est dit.

Si
chacun d'entre nous dit non, en toute connaissance de cause, tous ces
sombres événements n'auront pas lieu. Faites au moins circuler afin que
chacun puisse se faire sa propre opinion. N'ayons pas peur du regard
des autres. Et si l'on se trompe, ce dont je doute malheureusement
fort, ces envois de mails auront été des élans généreux d'humains
soucieux des autres afin de les avertir.

Amitiés

Karim
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Voila le texte:

Chers amis,

Je vous avais promis de vous informer. C’est ce que je fais. En attendant
la sortie de ma première capsule vidéo, je vous écris. Parce que c’est
plus fort que moi. Et parce que les jours
nous sont comptés. L’objectif
de ce courriel est double.

Premier objectif : je veux vous rappeler la tenue à Montréal d’un congrès exceptionnel qui aura lieu ce
samedi 12 septembre, de 9 heures à 22 heures (heure de Montréal). Ce
congrès est la première conférence pour la liberté de Choix en Santé.
Si vous êtes loin de Montréal, vous pourrez suivre en ligne tout le
déroulement de ce congrès, en direct et en différé.

Si vous voulez savoir de quoi traitera ce congrès, cliquez sur le lien qui annonce
l’événement : https://www.youtube.com/watch?v=NbMWPTM2yhs

Connaissant bien les politiques de santé tant en Amérique du Nord qu’en Europe, je
vous assure que vous y trouverez beaucoup d’informations qui
s’appliquent à notre réalité. Seuls les noms des lois et des ministres
diffèrent. Mais
ce sont les mêmes compagnies pharmaceutiques qui
imposent leurs lois iniques et liberticides à des politiciens devenus
pantins et hommes de paille. Si vous voulez comprendre ce qui nous
attend dans les mois qui viennent, de grâce, prenez le temps de suivre
cette conférence. C’est tout simplement votre santé, votre liberté et
votre vie qui sont en jeu.

Pour vous inscrire, cliquez sur le lien suivant :
http://www.tele-sante.com/conference_flcs_12sept09_webdiffusion.html

Et si vous croyez encore naïvement que le plan de vaccination obligatoire
n’aura pas lieu, je vous invite à tenter de répondre aux questions que
je me pose depuis que je suis ce dossier de la grippe porcine. Tel est
le second objectif de ce courriel : vous partager quelques-unes de mes
nombreuses questions et
interrogations à propos de cette fameuse
pandémie de grippe H1N1, et vous inviter à y répondre par vous-même
puis à tirer vos propres conclusions.

* pourquoi, Madame Bachelot (ministre de la santé en France) a-t-elle demandé début
février 2009, à un groupe de légistes constitutionnalistes,
un mémo sur la question suivante :
l’imposition d’un plan de vaccination à toute la
population serait-elle illégale et anticonstitutionnelle ? Ce sur quoi
les experts l’ont rassurée, invoquant qu’une situation exceptionnelle
et qu’un état d’urgence sanitaire justifiait amplement qu’on supprime
toutes les libertés individuelles !

* pourquoi l’Organisation
Mondiale de la Santé a-t-elle modifié, le 27 avril 2009, sa définition
de la pandémie ? Auparavant, pour déclarer une pandémie, les
contraintes étaient beaucoup plus sévères ! Maintenant, il suffit que
la maladie soit
identifiée dans deux pays d’une même zone OMS !

* comment se fait-il que le brevet du vaccin contre la grippe porcine
(H1N1) a été déposé en 2007 (bien avant la réapparition du virus
disparu depuis la fameuse épidémie de grippe espagnole, en 1918) ?

* par quel hasard le président Sarkozy a-t-il eu l’intuition
d’aller signer un contrat d’investissement d’un montant de 100 millions
d’euros, le 9 mars 2009, pour la construction d’une usine de
fabrication de vaccins contre la grippe ? Et devinez où ! Au Mexique,
là où justement, le foyer de la pandémie a pris naissance !

* pourquoi aucun média et aucun expert scientifique ne rappellent que la
grippe ordinaire tue chaque année entre 250.000 et 500.000 personnes,
soit plus de 1.000 morts par jour (ce sont les chiffres officiels de
l’Organisation Mondiale de la Santé) ?

* pourquoi tous les médias du monde
répètent-ils quotidiennement que le virus de la grippe
A H1N1 va provoquer une hécatombe de victimes, alors que les faits
démontrent qu’il s’agit d’une simple grippette (moins grave que la
grippe saisonnière ordinaire) qui n’a fait que 2.000 morts en plus de
cinq mois ? La grippe ordinaire en aurait fait, pendant ce même
laps de temps, 200.000 morts !

* pourquoi, malgré ces chiffres de
morbidité et de mortalité insignifiants (2.000 au lieu de 200.000), la
plupart des pays du Monde ont passé des commandes faramineuses pour des
centaines de millions de doses de vaccin, et ce, dès le mois de juin
2009 ?

* autrement dit, pourquoi met-on en place des mesures
exceptionnelles cette année, alors que la grippe est moins virulente
que les autres années ? Qu’est-ce qui, dans les faits, justifie de
telles décisions alors qu’il n’y a rien d’exceptionnel ?

* pourquoi des
lois d’exception (lois martiales) ont-elles déjà été
votées dans la plupart des pays (sans en révéler le contenu) ?

* pourquoi le Ministre de l’Intérieur Français a-t-il rappelé tous les
réservistes de l’armée et de la gendarmerie, en février 2009, en vue
(je cite) « de graves troubles sociaux prévus pour la
fin de l’été 2009 » (c’est-à-dire septembre) ?

* pourquoi l’armée américaine vient d’être déployée sur tout le territoire des
Etats-Unis ?

* pourquoi plus de 800 camps de concentration ont-ils été installés
aux Etats-Unis, ces dernières années (pour l’instant, ils sont vides) ?
Pourquoi sont-ils gérés par la FEMA (Federal Emergency Management
Agency), qui intervient lors des grandes catastrophes sur le territoire
(comme lors du cyclone Katrina) ?

* pourquoi des centaines de
milliers de cercueils sont-ils entreposés dans tous les
états
américains et pourquoi des fosses communes ont été creusées dans chaque
district ?

* pourquoi 600 neurologues britanniques ont-ils reçu,
le 29 juillet 2009, une lettre confidentielle du Health Protection
Agency (HPA), les invitant à être particulièrement attentifs à la
future recrudescence du syndrome de Guillain Barré (maladie
neurologique dégénérative gravissime déclenchée la plupart du temps par
l’acte vaccinal) ? Et pourquoi cette même agence n’a-t-elle pas prévenu
le public qui va « bénéficier » de cette campagne de vaccination ?

* comment se fait-il que le 5 mars 2009, la firme Baxter a
contaminé 72 kg de matériel vaccinal, mélangeant les virus H5N1 de la grippe
aviaire et H3N2 de la grippe ordinaire, avant de les envoyer dans six
pays différents, alors que les procédures de sécurité dans ce genre de
laboratoire rendent cet accident absolument impossible
? Impossible
sauf si l’acte devient volontaire. Cela m’a été confirmé par un docteur
en biologie.

* pourquoi ne nous dit-on pas que le vaccin contre
la grippe, depuis 40 ans qu’il existe, n’a jamais eu d’impact positif
sur l’incidence de cette maladie, au contraire ? Une étude
internationale a démontré que les vaccinés attrapaient plus souvent la
grippe que les non-vaccinés.

* pourquoi nous cache-t-on qu’en
1918, ce sont les personnes vaccinées qui sont mortes de la grippe
espagnole, et pas les non-vaccinées ? Cela voudrait-il dire qu’elles
ont été tuées par le vaccin lui-même, et pas par la grippe ?

* si les vaccins ont si peu d’effets secondaires, comment les autorités
sanitaires expliquent-elles que le nombre de scléroses en plaques en
France est passé de 25.000 à 85.000, suite à la campagne de vaccination
contre l’hépatite B ?

* pourquoi
nous cache-t-on que toutes les
épidémies du XXe siècle ont été déclenchées par des campagnes de
vaccination préalables ?

* pourquoi autorise-t-on de mettre dans
le futur vaccin contre la grippe H1N1, un adjuvant tel que le squalène
(dans une proportion un million de fois plus importante – j’ai
revérifié les calculs, car je n’y croyais pas !), alors que la Chambre
des Représentants l’avait reconnu explicitement responsable du syndrome
de la première guerre du Golfe, syndrome qui avait rendu 180.000 GI’s
malades (25 % des soldats) suite à l’injection du vaccin contre
l’anthrax ? À noter que le squalène avait été interdit par un juge fédéral en 2004 !

* pourquoi les premières populations visées
par la vaccination sont-elles les femmes enceintes et les enfants,
alors qu’habituellement, ce sont les vieux qu’on vise ? Eux, paraît-il,
auraient une mémoire immunitaire de
la grippe espagnole de 1918 !!!


* pourquoi les procédures de vaccination obligatoire seront-elles
confiées, non pas à des médecins, mais à des étudiants volontaires et
des militaires ?

* pourquoi aucun médecin et aucun hôpital ne pourra dispenser les vaccins
eux-mêmes ? Craindraient-ils de faux certificats ?

* pourquoi 50 % des médecins anglais disent qu’ils refuseront de se
faire vacciner avec le nouveau vaccin, parce qu’ils n’ont pas confiance
en la procédure de préparation ?

* pourquoi présente-t-on le Tamiflu comme un antiviral efficace, alors que toutes les campagnes
d’utilisation de ce produit se sont révélées catastrophiquement
inefficaces ? De plus, ce médicament provoque de nombreux désordres
psychologiques et neuronaux, allant jusqu’à provoquer des suicides en
nombre chez ceux qui en consomment !

* pourquoi les autorités
sanitaires,
censées vouloir notre bien et notre protection,
autorisent-elles qu’un nouveau type de vaccin (ce sont leurs mots) soit
testé directement sur des centaines de millions de cobayes
(c’est-à-dire nous), sans que les protocoles normaux de Mise en Marché
ne soient respectés, et sans aucune garantie d’innocuité dudit vaccin ?


Je pourrais continuer comme cela encore des heures. Mais je m’arrête là,
car les autres questions iraient toujours dans le même sens. Je n’ai
plus le temps, pour l’instant, de vous mettre toutes les références
d’articles des journaux officiels (le Monde, le Figaro, le Daily Post,
le Journal du dimanche, etc.), des sites officiels (de l’OMS, de
Baxter, d’Aventis, de Sanofi-Pasteur, etc.) et des déclarations de
scientifiques pro-vaccinalistes que j’ai consultées ! Vous trouverez
tout cela sur mon site, d’ici la fin du mois de septembre.

Mais je vous
garantis sur l’honneur que toutes les questions que je pose
ci-dessus se basent uniquement sur des lectures de documents officiels
et accessibles à tous ! Ce ne sont pas des allégations, des
suppositions, des supputations de théoriciens du grand complot ! C’est
cela qui fait qu’il est impératif de se poser de telles questions !
Et de tirer les conclusions qui s’imposent.

Pour ma part, c’est fait. Et j’ai pris position clairement.

Il y a, par contre, une question que je vais poser ici et à laquelle je
vais répondre, car beaucoup de mes interlocuteurs ne comprennent pas
cela (j’ai reçu des centaines de courriels en une semaine !!! Merci à
ceux qui m’ont traité de pauvre connard et de manipulateur. Merci
surtout à tous ceux qui ont relayé l’information à des dizaines de
milliers de personnes en Europe et au Canada. Merci particulièrement à
tous ceux qui prient pour moi, pour
l’instant. J’ai été très touché et
ému.)

La question est : comment un virus aussi bénin va-t-il s’y
prendre pour tuer des millions de personnes ? Ça, c’est la question à
un million de dollars !!!

Eh bien c’est l’histoire des pandémies
du passé qui nous apporte la réponse. La recette est simple (en douze
étapes, déjà expérimentées en 1918 avec succès) :

1. on annonce qu’un foyer d’une nouvelle grippe vient d’apparaître au Mexique
et que c’est très grave, car c’est un virus
animal qui s’est transmis à l’homme !
2. on annonce ensuite 350 morts en une semaine, pour
rectifier ensuite le décompte à 8 morts. Mais tout le monde a retenu
qu’il y avait eu beaucoup de morts dès le début (ça ne vous rappelle
rien, ça : le 11 septembre, on nous a annoncé à la télévision 40 à
50.000 morts dans les Twin Towers – ce qui a justifié la
croisade
contre les forces du Mal – puis, on a révisé le nombre de morts à
2.974) ;
3. on annonce à grand renfort de publicité quotidienne
que ce terrible virus se propage à une vitesse incroyable
sur toute la
planète (alors que par ailleurs, aucun laboratoire du monde ne dispose
de la souche du virus pour confirmer que c’est bien ce virus qui est en
cause, et pas le virus ordinaire – on reconnaît par ailleurs que la
grippe porcine ne présente aucun symptôme spécifique par rapport à ceux
de la grippe ordinaire – alors, comment font-ils pour compter le nombre de cas ???) ;
4. devant le peu de virulence dudit virus, on nous
annonce que ce gentil virus (finalement) va muter et va devenir TRÈS
méchant, et que l’on sait qu’il va muter à une date précise (celle de
la sortie des vaccins, quelle coïncidence quand même !) ;
5. pendant tout ce temps, on prépare des produits en
laboratoire dont on
dit qu’ils sont des vaccins, et dans lesquels on mélange deux souches
de la grippe porcine, deux souches de la grippe aviaire et une souche
de la grippe humaine (cocktail tout à fait explosif, lorsqu’il sera
injecté dans le corps !). De plus, on rajoute (en plus grande quantité
que d’habitude) des adjuvants (mercure, aluminium et squalène),
reconnus pour leur grande toxicité ;
6. peu avant la sortie des soi-disant vaccins (qui sont en réalité, ici, des armes
bactériologiques), les médias se déchaînent pour nous annoncer qu’il y
a une recrudescence de cas de grippe. Même si les médecins ne prennent
plus la peine de vérifier s’il s’agit bien du même virus, le peuple est
tellement hypnotisé qu’il ne réfléchit plus. Il est persuadé que la
mutation annoncée est en train de se réaliser ;
7. on annonce aussi que tous les vaccins ne seront pas disponibles
immédiatement et
qu’il y aura des chanceux qui pourront en bénéficier tout de suite, et
d’autres devront attendre jusqu’à quatre mois pour enfin recevoir le
vaccin salvateur ! À noter que nous en sommes là, pour l’instant, dans
la chronologie des événements.
8. dès la sortie des premières
armes bactériologiques déguisées en vaccins, le bon peuple apeuré court
se faire vacciner volontairement, dans les centres spécialement
préparés à cet effet (et encadrés par des militaires). Ici au Canada,
les gens s’inscrivent
sur des listes d’attente pour être certains
d’être parmi les premiers vaccinés !
9. dès l’injection du vaccin, le cocktail préparé soigneusement par les laboratoires entraîne la
mutation et la combinaison des différentes souches dans le corps du
patient, rendant les virus extrêmement mortels. Dans le même temps, les
adjuvants auront mis par terre le
système immunitaire. La Tamiflu sera
utilisé pour provoquer une surinfection (cas déjà observés dans
plusieurs pays) entraînant immédiatement la mort de la personne.
Conséquence : il y aura des milliers de morts parmi les premières
populations vaccinées ;
10. on nous dira alors que,
malheureusement, ce qu’on craignait est arrivé : le virus a muté sous
une forme mortelle. On attribuera la cause des décès au virus, et pas
au gentil vaccin censé nous protéger ! Une panique s’emparera de la
population, qui réclamera qu’on les
vaccine d’urgence ;
11. vu la gravité de la situation sanitaire, vu les troubles engendrés, d’une
part par ceux qui réclameront avec force leur vaccin, d’autre part par
ceux qui accuseront les autorités sanitaires de génocidaires, l’état
d’urgence sera déclaré dans tout le pays et le plan de vaccination
obligatoire sera mis en place ;
12.
ceux qui refuseront de se faire vacciner devront se cacher ou disparaître pendant un temps
suffisamment long, à moins qu’on ne les fasse disparaître dans des
camps de concentration prévus à cet effet.


Ce scénario, je vous l’écris en cette nuit du 9 au 10 septembre 2009. Je ne le fais
pas du tout de gaieté de coeur.
Je sais que certains parmi vous me reprocheront d’alimenter la peur qui
est déjà créée par les élites lumineuses, et de finalement, faire le
jeu de ceux que je dénonce. À cela, je vous citerai une phrase
de Jésus-Christ (même si je n’appartiens plus à aucune religion) : « Vous
connaîtrez la vérité, et la vérité fera de vous des hommes libres ! »
(Jean 8:32).

Je vous offre ici une synthèse de tout ce que j’ai
lu depuis cinq mois (dont deux mois à temps plein). Mon objectif, c’est
de décrypter pour vous les informations qui nous sont cachées (même
si
elles sont disponibles publiquement – faites vos recherches avec Google
– vous verrez !), afin que vous ne cédiez pas à la panique lorsque
l’hécatombe commencera. Afin que vous compreniez quelle est la cause
réelle de ce que vous verrez.

Maintenant, que pouvons-nous
faire, me direz-vous ? Pour l’instant, la chose qui me paraît la plus
importante, c’est que vous diffusiez cette information à TOUS vos
contacts. Imprimez ce courriel, découpez-le en morceaux s’il vous
paraît trop long, donnez-le à tous vos amis, à
toutes vos connaissances. Si vous êtes parents d’enfants allant à l’école,
constituez immédiatement des comités de résistance à ce plan
génocidaire. Dans deux mois, il sera trop tard. Et vous devez savoir
que les écoles seront bouclées pour pouvoir vacciner vos enfants. Si
vous n’êtes pas organisés maintenant, vous serez démunis le 15
novembre, lorsque le
plan se mettra en marche. Allez parler à tous les
policiers, à tous les gendarmes que vous connaissez car eux aussi, sont
maintenus dans l’ignorance de ce plan (et ils ne seront pas
vaccinés par les mêmes produits, pour ne pas tomber malades, eux !).
Expliquez-leur qu’ils vont participer, sans le savoir, à un génocide
programmé contre la population. Rappelez-vous que si les nazis ont pu
déporter autant de personnes vers les camps de la mort, c’est parce
qu’ils ont bénéficié de l’aide de la police française qui n’avait
pas compris ce qui se passait. Allez parler aussi à vos représentants
politiques, car la plupart d’entre eux ne savent pas ce qui se trame.
Demandez-leur de ne pas coopérer, de saboter le plan, de faire détruire
les fichiers de population, pour que le recensement des vaccinés et des
non vaccinés devienne un casse-tête.

Cette activité devrait
devenir votre
tâche prioritaire. Car la seule manière d’enrayer ce plan
diabolique, c’est de réunir une masse critique de gens conscients.
Gandhi ne disait-il pas : « un individu conscient et debout est bien
plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis
et inconscients. » J’en suis convaincu.

Par contre, ne perdez pas votre temps avec les hauts dirigeants de l’État, les grands médias
et les experts payés (achetés) par les laboratoires pharmaceutiques. Ne
perdez pas non plus votre temps avec les sceptiques, les
indécrottables du petit écran pour qui seule la parole des médias est l’évangile.
Méfiez-vous même de leur réaction, car ils pourraient vous accuser de
chercher à les tuer en les empêchant de se faire vacciner.

Et si
vous avez peur en lisant mon courriel, transformez cette peur en
action, en mouvement. C’est toujours comme cela que l’humanité a fait
des
bonds dans son évolution : c’est en transformant sa peur du feu en
maîtrise du feu que l’homme a inventé la technique.

Personnellement, je suis très conscient de ce
que je risque en prenant cette position, à découvert.
Depuis quelque temps, je vis avec la perspective qu’il se
pourrait que je ne sois plus de ce monde dans les semaines qui
viennent. Et je découvre une perspective fabuleuse à mon existence.
Souvent, je me suis posé la question de façon théorique : s’il me
restait un an à vivre, quels choix de vie ferai-je pour que je puisse
entrer dans la mort sereinement et sans regret ? Aujourd’hui, cette
question n’est plus théorique pour moi. Et je me rends compte que
beaucoup de mes valeurs se transforment de façon encore plus radicale.
Et beaucoup de choses qui me causaient du souci deviennent tellement
secondaires...

Et cette phrase de saint Matthieu résonne dans ma
tête : que votre oui soit un oui,
que votre non soit un non, (Matthieu 5:37).
Serons-nous capable de dire non à l’infamie, au risque de notre vie corporelle ?
Serons-nous capables de dire oui à ce que notre âme nous dicte de faire ?
Serons-nous capable de nous mettre debout, quel que soit le prix à
payer ?

Restons debout et conscients.

Jean-Jacques Crèvecoeur
De Montréal (ce jeudi 10 septembre 2009)
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Lisez au sujet de H1N1. Empty Re: Lisez au sujet de H1N1.

Message par nIzLa Sam 19 Sep - 5:23

Salut....Karim

Je n'ai pas pu lire -jusqu'à la fin- le texte du DrJ.J Crevecoeur car il est truffé d'incohérences et de contre-vérités scientifiques.....Je suis convaincu qu'il a été rédigé par un non professionnel......Et ça me crève le coeur :-029-:
Je suis pour que le citoyen soit informé ,respecté et soigné.....Tout comme nous devons être vigilents.......mais ce ne seront jamais des charlatants alarmistes qui pourront nous aider .
Merci Karim ton intention est louable....
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Lisez au sujet de H1N1. Empty Re: Lisez au sujet de H1N1.

Message par Nazim06 Jeu 24 Sep - 22:54

La grippe A (H1N1) de 2009 est une maladie respiratoire aiguë contagieuse provoquée par un virus de la grippe A de sous-type H1N1. Ce virus est réapparu en 2009 sous une nouvelle forme génétique transmissible d’homme à homme. Ce nouveau virus grippal, contenant des gènes de plusieurs virus connus d’origine porcine, aviaire et humaine[1], est un virus réassorti[2].Lisez au sujet de H1N1. 180px-H1N1_influenza_virusLisez au sujet de H1N1. Magnify-clip

Influenzavirus A sous-type H1N1.





Le virus se propage généralement par la toux et les éternuements
ou en touchant une surface contaminée. Les symptômes, qui peuvent durer
jusqu'à une semaine, sont similaires à ceux de la grippe saisonnière,
et peuvent inclure fièvre, éternuements, mal de gorge, toux, maux de
tête et douleurs musculaires et articulaires.
Au niveau mondial, la mortalité est faible et concerne
principalement des personnes déjà affaiblies. Dans la majorité des cas,
les malades n’ont présenté que des symptômes bénins et leur guérison a
été rapide et complète[3].
Les personnes présentant les symptômes de la grippe A (H1N1) sont traitées avec du paracétamol[4] et pour les cas plus sévères avec des inhibiteurs de la neuraminidase des virus grippaux tels l’oseltamivir ou le zanamivir[5]. Les premiers lots de vaccins contre cette nouvelle grippe seront probablement disponibles au courant du mois d'octobre 2009[6].
Le 11 juin 2009, l’OMS décide le passage à la phase 6 ; la grippe A (H1N1) de 2009 est donc considérée comme une pandémie[7].Le Dr Anne Schuchat (Centres de contrôle et de prévention des maladies des États-Unis (CDC)), a déclaré que les cas américains résultent d’un virus caractérisé par une recombinaison d’éléments génétiques provenant de quatre virus différents :

  • une grippe porcine nord-américaine,
  • une grippe aviaire nord-américaine,
  • une grippe humaine du type A du sous-type H3N2, et
  • un virus de grippe porcine typiquement trouvé en Europe et Asie ;

soit « un mélange exceptionnel et jamais rencontré ni aux États-Unis, ni ailleurs, de séquences génétiques »[14]. Cette nouvelle souche pourrait peut-être résulter d’une surinfection chez une personne malade.
Pour deux isolats, des séquences génomiques complètes ont été obtenues[réf. nécessaire]. Celles-ci sont utilisées par les chercheurs américains pour développer un vaccin. Le Dr A. Schuchat a déclaré[15] que le virus est résistant à l’amantadine et la rimantadine, mais est sensible à l’oseltamivir (Tamiflu) et au zanamivir (Relenza).
Sur la base des données disponibles au 1er mai 2009,
A. Schuchat estimait que dans un foyer chaque personne malade
contaminait en moyenne un quart environ des autres membres de la
famille, comme dans le cas d’une grippe saisonnière ; et dans le même
temps, le Dr Nancy Cox (chef du département grippe des CDC américains) ne constatait pas chez ce virus « les marqueurs de virulence qui ont été observés dans le virus de 1918 », tout en restant prudente en raison du fait que la dangerosité des virus grippaux reste mal comprise[16].
La caractérisation génétique préliminaire a montré que le gène de l’hémagglutinine (HA) est similaire à celui des virus de la grippe porcine présents aux États-Unis depuis 1999, mais les gènes de la neuraminidase (NA) et celui de la matrice protéique (M) ressemblent aux variants que l’on trouve dans les isolats de grippe porcine européenne.
Épidémiologie


Morbidité

Lisez au sujet de H1N1. 250px-3D_Influenza_virusLisez au sujet de H1N1. Magnify-clip

Structure de l'influenzavirus.





La morbidité est liée à la contagion (plus une maladie est contagieuse, plus sa morbidité est forte), mais d’autres facteurs entrent en compte, dont l'état de santé et les conditions d’hygiène
de la population (alcoolisme, tabagisme, sous-nutrition), ou encore les
précautions prises pour éviter la propagation de la maladie. La
morbidité varie beaucoup, selon les grippes ; celle de la grippe A(H1N1)
(d'apparition très récente) est source de plus d’interrogations que de
réponses précises. Cependant, la connaissance générale des grippes
permet quelques éléments de réponse, encore partiels.
La grippe commune (dite « saisonnière ») a une morbidité élevée : elle touche entre 5 % et 15 % de la population.
À l’opposé, la grippe aviaire
est peu contagieuse et se propage mal chez les humains. Sur la planète
entière, le nombre de personnes touchées s’est chiffré uniquement en
centaines sur les quatre dernières années[17]. Plusieurs indices laissent penser que la morbidité de la grippe A(H1N1) est plus proche de la grippe saisonnière que de la grippe aviaire. Le premier d’entre eux provient de l’analyse virologique, elle montre l’existence d’éléments provenant de la grippe porcine[14]. L’histoire nous apprend que les grippes ayant des origines porcines peuvent être contagieuses[18] comme le fut la grippe de Hong-Kong de 1968[19].
Un facteur important dans la dangerosité de ce virus est sa capacité
à se déployer sur une partie plus ou moins vaste du monde. Certaines
épidémies, même dues à un virus très contagieux, sont restées locales.
Ce fut le cas à Madagascar en juillet et août 2002 :
une épidémie due à un virus de type A(H3N2). Dans certaines régions,
elle a touché jusqu’à 85 % de la population, mais est restée limitée à
un espace géographique de quatre des six provinces et n’a pas quitté
l’île[20].
Ce caractère local de la grippe n’est pas une généralité, certaines
d’entre elles se répandent sur une vaste partie de la planète, dont la grippe A(H1N1).
Parmi les certitudes :

  • La maladie se transmet d’humain à humain sans nécessairement passer par les animaux[21], et la maladie s’est diffusée dans plusieurs pays différents ;
  • Sa morbidité reste mal connue, les données statistiques étant encore trop faibles pour tirer des conclusions précises[22] ;
  • Le virus a semblé plus « dur » en zone de l'hiver austral (ex : au Chili :
    3,8 % des cas confirmés par un laboratoire ont nécessité une
    hospitalisation, et 0,2 % (16 cas) ont abouti au décès du malade ; il y
    a eu à cette date 16 morts au Mexique entre le 17 mai (1er cas) et la mi-juin 2009,
    pour 8 160 cas recensés, souvent déclarés au sud (plus froid et
    pluvieux durant l'hiver austral), et 53 % des malades déclarés étaient
    des jeunes (5 - 19 ans)[23].

Létalité

Lisez au sujet de H1N1. 300px-Influenza_subtypes.svgLisez au sujet de H1N1. Magnify-clip

Sous-types de l'influenzavirus.





La grippe A (H1N1), tout comme la grippe saisonnière, peut, dans de rare cas, entrainer la mort des malades, par trois mécanismes différents.

  • Le premier est la mort par surinfection bactérienne, devenue rare
    dans les pays développés en raison de l'accessibilité aux traitements
    antibiotiques.
  • Le deuxième est une infection pulmonaire virale entrainant un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) létal dans 50 % à 60 % des cas.
  • Le troisième, le plus fréquent, est l'aggravation de maladies préexistantes chez une personne fragile [24].

La mortalité globale de cette grippe A (H1N1) reste faible bien qu'on observe des différences suivant les pays.
Celle des différentes grippes est aussi très largement variable.
Elle l'est notamment en fonction des conditions de vie des populations,
des types de populations, et des moyens sanitaires des pays dans
lesquels ils vivent.
Dans le monde, la grippe saisonnière tue chaque année entre 250 000 et 500 000 personnes[19]. En France, la grippe tue entre 1 500 et 2 000 personnes par an[25] et elle en tue chaque année de l’ordre de 36 000 aux États-Unis[26].
Elle ne tue cependant que la fraction de la population la plus
fragile : les personnes âgées, celles atteintes d’affections de longue
durée ou les plus jeunes enfants[19]. Ce profil de létalité semble se dessiner pour la grippe A (H1N1) et pour les pays riches. Richard Besser, directeur des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC) indique qu’il est : « encourageant de constater que ce virus n’avait pas l’air jusqu’à présent plus sévère qu’une souche de grippe saisonnière[27] ».
Ces signes rassurants ne s’appliquent pas au Mexique. Si les
proportions sont de natures différentes de celles des pays riches : 42 morts sur 1 112 cas confirmés au 8 mai 2009, ce n’est pas l’élément le plus inquiétant[19].
Les chiffres sont encore peu fiables, l’OMS indique que la récente
croissance est essentiellement due à des biais statistiques et non une
réelle évolution de la maladie[19]. Le docteur Richard J. Webby précise : « puisque les symptômes de la grippe A
sont les mêmes que ceux d’une grippe saisonnière, cette létalité
pourrait simplement refléter des centaines de milliers de personnes
infectées qui auraient échappé aux officiels de la santé mexicaine »[28]. Le nombre réel de morts est probablement plus grand et 101 autres décès sont considérés comme suspects[29]. Au Mexique, les personnes gravement touchées ne font pas nécessairement partie de la population la plus fragile[30], cet élément qualitatif laisse penser à un profil de létalité différent de celui des pays riches.
Si, depuis 40 ans, aucun
pays riche n’a connu d’épidémie de grippe beaucoup plus létale que
celle saisonnière, cet état de fait est différent pour les pays moins
médicalisés. L’épidémie de Madagascar de 2002 avait fait 754 morts sur 30 304 cas notifiés[20].
Certaines régions du monde n’ont aucun moyen d’éviter une épidémie si
elle se présente, et de soigner efficacement sa population. C’est le
cas de la Somalie, ses centres médicaux sont détruits par la guerre civile. Le conseiller du ministre de la santé déclare que « Nous ne sommes pas préparés à gérer la grippe porcine… Que Dieu nous aide si la grippe arrive jusqu’ici[31] ».
Pour ce qui est de l’évaluation totale des cas, Anne Schuchat du CDC
évalue le 22 mai à 1 sur 20 le nombre de cas confirmé aux États-Unis,
c’est-à-dire 20 malades pour chaque cas confirmé[32]. « En fait, une minorité de cas sont comptés individuellement ». Certains médias rapportent des évaluations avoisinant le million de cas dans ce pays [33],[34].
Ce rapport n’est valable que pour les États-Unis d'Amérique et peut varier grandement d’un pays à l’autre (selon la façon dont sont conduits les tests[35]). C’est ainsi que le professeur John Oxford du Royaume-Uni estime pour sa part à 1 sur 300 les cas confirmés là-bas[36].
Le Brésil, où la grippe porcine a tué 657 personnes (août 2009), est
le pays qui compte le plus grand nombre de décès dû au H1N1 dans le
monde.[37]
Hypothèse concernant l'origine de la pandémie

Lisez au sujet de H1N1. 180px-Mexican_Catholics_at_the_Metropolitan_Cathedral_Swine_FluLisez au sujet de H1N1. Magnify-clip

Mexicains catholiques équipés de masques chirurgicaux à la cathédrale métropolitaine de Mexico.





L’un des plus grands élevages industriels de porcs, situé à La Gloria dans la région de Perote dans l’État de Veracruz, au Mexique, est suspecté, par la population locale fortement touchée et les autorités environnantes, d’être à l’origine de la pandémie[38].
Dans un premier temps, les autorités mexicaines pensent y avoir trouvé le patient zéro : Edgar Hernandez, malade fin mars d’un cas avéré de H1N1[39]. Toutefois, le 30 avril, le centre de contrôle d’Atlanta publie un rapport sur un autre cas au Mexique ayant développé le virus mi-mars, soit 15 jours avant Hernandez[40].
Le 23 juin 2009, le New York Times rapporte que le département de l'Agriculture des États-Unis
a déclaré que « contrairement à l'hypothèse courante qui est que le
virus pandémique de la grippe a pour origine des fermes industrielles
du Mexique », le virus a « plus probablement émergé de porcs en Asie et a voyagé jusqu'en Amérique du Nord chez un humain »[41].
Dans son numéro de juillet-septembre 2009, le magazine l'Écologiste défend le point de vue que « l'élevage concentrationnaire des animaux favorise les recombinaisons de virus », en s'appuyant sur des références scientifiques[42].
Symptômes

Lisez au sujet de H1N1. 150px-Diagram_of_swine_flu_symptoms.svgLisez au sujet de H1N1. Magnify-clip

Symptômes de l'infection par le virus de la grippe A(H1N1) (anglais).





Cette nouvelle souche de la grippe provoque les mêmes symptômes que la grippe saisonnière[43]:

Les symptômes disparaissent généralement de une semaine à dix jours
après leur apparition, mais la fatigue et la toux peuvent parfois
persister deux à trois semaines. Le sujet infecté peut être contagieux
un jour avant l'apparition des symptômes et le rester pendant sept
jours environ.
Les tests rapides


Plusieurs « tests rapides » (RIDT ou Rapid Influenza
Diagnostic Tests) sont récemment apparus sur le marché, permettant
théoriquement de détecter (en 15 minutes) plusieurs virus de type A,
dont le H1N1.
Ces tests sont encore imparfaits et peuvent contribuer à sous-diagnostiquer le nombre de cas.
Début aout 2009, les CDC ont publié les résultats préliminaires d'une étude ayant porté sur 3 tests de diagnostics rapides [44]
mis sur le marché pour détecter le virus A(H1N1) dans des échantillons
(ici non-frais, mais conservé par les CDC) de secrétions respiratoires.
L'étude a confirmé que le nouveau H1N1 pouvait être détecté par ces
tests, mais pas dans tous les cas : ces trois tests ont fréquemment
échoué à identifier le virus dans les échantillons où le virus n'était
pas fortement présent ( « leur sensibilité est faible, voire très faible lorsque le titre viral est bas », selon les CDC qui ont conclu : « Un résultat négatif n'exclut donc pas qu'on soit infecté par le virus de la grippe A(H1N1) ».

  • Sur les 35 échantillons contenant un bas taux de virus A(H1N1),
    l'un des tests (BinaxNOW) n'a détecté le virus que dans 40 % des cas,
    alors que le Directigen EZ Flu A+B n'en détectait que dans 49 % de ces
    mêmes échantillons et que le QuickVue Influenza en détectait 69 %.
  • La fiabilité n'est pas non plus très élevée pour les échantillons
    fortement contaminés par le virus ; sur 9 échantillons très riches en
    virus A(H1N1), deux des trois tests ont échoué à l'identifier dans un
    cas. [45],[46],[47]

Un test rapide RIDT négatif ne signifie donc pas l'absence d'infection.
Prévention


Les masques chirurgicaux et l'hygiène

Articles détaillés : Masque chirurgical et Hygiène.
Lisez au sujet de H1N1. 140px-ChineseFluInspectorsLisez au sujet de H1N1. Magnify-clip

Inspecteurs sanitaires chinois recherchant les cas de fièvre, symptôme classique de la grippe A(H1N1).





Les masques chirurgicaux
sont un moyen de limiter l’expansion d’une pandémie. Portés par des
personnes contaminées, ces masques limitent la diffusion du virus dans
l'air par la toux et les éternuements. En cas de déclenchement du plan d’urgence, ils sont distribués par l’armée et sont disponibles en très grand nombre dans les hôpitaux et centres de soins. Les masques de protection FFP permettent de protéger les personnes qui les portent. Seuls les masques de type FFP2 ou FFP3 sont suffisamment efficaces contre le virus de la grippe A (H1N1).[48]
Il est à noter que ces masques peuvent devenir un vecteur de
contamination lorsqu'ils ont été contaminés par le virus. Il faut donc
changer de masque si possible à chaque exposition potentielle au virus
(par exemple, pour les masques chirurgicaux "de soins", dès que l'on a
éternué ou toussé dedans, car l'humidité les traverse) et ce sans
toucher la partie filtrante avec les mains.
Comme pour beaucoup de maladies infectieuses, une des meilleures
formes de prévention est l'hygiène. Ainsi, afin de prévenir une
contagion en période épidémique, il est nécessaire de se laver les mains au savon plusieurs fois par jour ou d'utiliser des solutions hydro-alcooliques
pour se désinfecter les mains, notamment après tout contact physique
direct avec une personne potentiellement infectée, ou avec des surfaces
potentiellement contaminées par le virus[49].
Les antiviraux

Article détaillé : Oseltamivir.
Lisez au sujet de H1N1. 180px-TamifluLisez au sujet de H1N1. Magnify-clip

Boîte d'Oseltamivir (Tamiflu).





La neuraminidase
est la protéine virale qui permet aux particules virales de pouvoir
diffuser dans le circuit sanguin et ainsi, d’aller infecter les
cellules saines adjacentes. Les inhibiteurs de la neuraminidase
empêchent le virus de pouvoir traverser la membrane plasmique de la cellule hôte infectée. La cellule ainsi surchargée par les virions est détruite avec le virus.
Ces inhibiteurs sont l’oseltamivir (Tamiflu) et le zanamivir (Relenza). Ils réduisent la durée des signes cliniques d'un ou deux jours et diminuent la contagiosité du patient[50].
Selon des médecins britanniques, ces médicaments ne devraient pas être
prescrits aux enfants de moins de 12 ans en raison de leurs effets
secondaires[51],[52].
Ces effets indésirables, qui touchent un enfant sur deux, sont pour les
plus fréquents : nausées, maux de tête, douleurs ou des crampes
d'estomac, cauchemars. Les effets gastro-intestinaux (nausées,
vomissements, diarrhée, maux d'estomac) sont rapportés par 40% des
enfants[53].
Actuellement, les laboratoires Roche et GlaxoSmithKline, fabricants
du Tamiflu et du Relenza, augmentent leur production d’antiviraux et
affirment pouvoir atteindre, en janvier, 400 millions de doses par an [54].
Les stocks d’antiviraux sont gérés, en France, par le service de santé des armées (Pharmacie centrale des Armées) et le ministère de la Santé.
Ils sont distribués en quasi totalité dans les grands centres de soins
(CHU, CH, CHR) et sont soumis à prescription afin de limiter toute
tentation de commerce illégal et de rentabilisation.
Un premier cas de résistance au Tamiflu a été observé sur un patient danois le 29 juin 2009. Le patient a été guéri avec un autre antiviral (le Relenza)[55], qui s'est avéré efficace. D'après l'OMS, il s'agirait d'un « cas isolé » sans « implication en termes de santé publique »[56]. D'autres cas ont été observés près de la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique. [57]
Le vaccin


Alors que les premiers vaccins avaient été annoncés comme potentiellement disponibles début juillet par Novartis[58], il semble finalement qu'il faille attendre l'automne 2009 avant de les recevoir[59].
Par ailleurs, des vaccins spécifiques aux nourrissons seraient
envisagés. Les premiers essais cliniques qui viseront à démontrer
l'efficacité du vaccin, l'absence d'effets secondaires, déterminer la
meilleure dose et de la stratégie optimale ont débuté en aout.[60]
La France a commandé 94 millions de vaccins, plus 34 millions
optionnels pour 2010 auprès de trois laboratoires (Sanofi-Pasteur,
GlaxoSmithKline (GSK) et Novartis). Les premiers vaccins seront
réservés aux personnes travaillant dans la santé, les secours et la
sécurité.
Le CDC
a d'abord estimé que deux injections seraient nécessaires à trois
semaines d'intervalle pour la grippe A (H1N1) (et une troisième pour la
grippe saisonnière) pour offrir le maximum de protection. Les enfants
de moins de neuf ans pouvant avoir besoin de quatre injections. « Une
injection donnera probablement peu d'immunité, 10 à 20 pour cent au
plus », estiment les experts[61].
En juin, la Secrétaire à la Santé et aux services sociaux des États-Unis, Kathleen Sebelius,
a signé un décret conférant l'immunité aux fabricants de vaccins contre
la grippe H1N1, en cas de poursuite judiciaire suite au nouveau vaccin
contre cette grippe[62],[63]. Le gouvernement américain a pris cette mesure afin d'encourager les fabricants à produire le vaccin.
Le 31 juillet 2009, en Grèce,
le ministre de la Santé, Dimitris Avramopoulos, a déclaré à la presse
que "sur instruction du Premier ministre (Costas Caramanlis), il a été
décidé de vacciner tous les ressortissants et résidents du pays, sans
exception".[64]
Le 7 août 2009, le laboratoire Baxter a annoncé disposer d'un vaccin (le Celvapan), et être en discussion avec les autorités sanitaires pour sa distribution[65]
C'est en fait un vaccin dit "mock-up" ou vaccin-maquette, une version
adaptée du vaccin pré-pandémique initialement mis au point contre le
virus aviaire A(H5N1). Ce prototype disposait déjà d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) accordée par l’Agence européenne pour l’Evaluation des Médicaments (EMEA). Ce procédé permet une autorisation accélérée du vaccin pandémique, sans déposer une nouvelle demande d’AMM.
La première évaluation du vaccin publiée le 10 septembre 2009 a
conclu a une bonne efficacité potentielle (pour une des souches-cible
recommandées par l'OMS) ; la protection semble plutôt élevée, même avec
un seul vaccin et les effets secondaires assez limités [66], mais ces tests ont porté sur le vaccin sans l'adjuvant qui peut également être source d'effets secondaires) [67],
Fabrication des vaccins


Sanofi-Pasteur, GlaxoSmithKline (GSK) et Novartis utilisent des œufs embryonnés de poules pour cultiver le virus tandis que Baxter utilise des cellules de rein de singe vert africain pour la culture du virus.
Deux types de vaccins qui sont en préparation dans les laboratoires.
L'un, créé de toutes pièces, mettra des mois avant de franchir toutes
les étapes nécessaires à sa validation. Le second, dit vaccin "mock-up"
ou vaccin-maquette, a été préparé en réponse à l'épidémie de grippe
aviaire H5N1. Pour accélérer le processus, du mercure a été utilisé.[68] Tous les vaccins maquette ont été préparés avec une souche H5N1 du virus de la grippe qui doit être changée maintenant pour la souche H1N1 qui est à l'origine de la pandémie.[69] La Commission européenne a autorisé pour l'instant la commercialisation de quatre vaccins mock-up :

  • Celvapan, de Baxter AG;
  • Daronrix, de GlaxoSmithKline Biologicals S.A.;
  • Focetria, de Novartis Vaccines and Diagnostics S.r.l.;
  • Pandemrix, de GlaxoSmithKline Biologicals S.A..

Réponses


Cas et réactions par pays

Article détaillé : Grippe A (H1N1) de 2009 par pays.
Lisez au sujet de H1N1. 410px-H1N1_map.svgLisez au sujet de H1N1. Magnify-clip

Épidémie de grippe A (H1N1) de 2009. Noir : morts confirmées. Rouge : infections confirmées. Orange : cas suspects.
Voir aussi : Épidémie de grippe A (H1N1) de 2009





La nouvelle grippe s’est répandue à travers le Mexique, avec des cas confirmés dans au moins 125 pays[70]. Les pays dont l’Australie, la Chine, l’Islande, l’Inde, l’Indonésie, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Corée du Sud et la Thaïlande
surveillent les voyageurs en provenance des zones affectées pour
identifier les personnes présentant des symptômes respiratoires et des
fièvres.
De nombreux pays ont aussi averti les voyageurs des zones affectées
par la grippe de contacter un médecin immédiatement s’ils avaient les
symptômes grippaux. Plusieurs pays ont également interdit l’importation et la vente de viande de porc[71],[72].
Le parlement égyptien a demandé que les 250 000 porcs du pays soient tués immédiatement[73].
Des premiers cas de grippe A ont été détectés chez des Indiens d'Amazonie en aout 2009 chez 10 Indiens matsigenka, tous rétablis depuis, vivant près du rio Urubamba
au Pérou. Les populations isolées en forêt ont généralement peu
d'immunité contre ce type de maladies. Des experts craignent une
épidémie aux conséquences plus graves qu'en zone urbaine[74],[75].
En France, et de manière systématique, les personnes, ayant eu des contacts (moins de 1 m) avec le malade durant les 24 h avant la déclaration des symptômes, sont mises en quarantaine pendant une durée de 24 h et se voient prescrire du Tamiflu ainsi que le port d’un masque. Un premier cas a été confirmé à la Réunion dans l'Océan Indien le 6 juillet 2009.[76]
Quelques personnalités ont été touchées par l'épidémie : l'homme politique costaricain Óscar Arias Sánchez[77], l'actrice turque Müjgan Gönül[78] et le président colombien Alvaro Uribe[79]. Ils n'en sont pas morts.
Le plan de vaccination à l'automne 2009 en France


Dans une circulaire du 21 août destinée aux préfets[80],
les ministres de l’intérieur et de la santé ont précisé le plan de
vaccination débutant le 28 septembre qu’ils qualifient de « réponse
sanitaire évolutive exceptionnelle ». Il y est indiqué que le
gouvernement a « commandé des doses de vaccins, afin d'être en
mesure de proposer, si cela s'avérait nécessaire, à l'ensemble de la
population une couverture vaccinale contre le nouveau virus
». La vaccination se ferait sous la forme de deux injections à trois semaines d’intervalle[81].
Le syndicat des infirmières SNPI CFE-CGC estime cependant qu’une
vaccination massive contre un virus grippal relativement bénin,
présente des risques, du fait d’un vaccin développé trop rapidement, et
d’un adjuvant susceptible de déclencher des maladies auto-immunes.[82].
Selon le communiqué du syndicat, le vaccin H1N1 contient 10 fois
moins d’antigène afin d'en accélérer la production grâce à la présence
de l’adjuvant AS03 (amplificateur d’effet composé de squalène et de
polysorbate). Cet adjuvant n’ayant jamais été utilisé auparavant dans
un vaccin pourrait déclencher des réactions immunitaires et en
particulier augmenter le risque d’effets secondaires graves, comme le syndrome de Guillain-Barré[83].
Réactions internationales


Nations unies


Depuis le signalement des premiers cas de grippe à la communauté
internationale par le gouvernement mexicain, l’Organisation des Nations
unies (et particulièrement l’OMS) sont en état d’alerte permanent et
renforcé. Le secrétaire des Nations unies, Ban Ki-moon, a annoncé lors d’un point presse au siège des Nations unies[84] que « Nous
sommes préoccupés par le fait que ce virus pourrait causer une nouvelle
pandémie de grippe. Il pourrait être bénin dans ses effets comme il
pourrait être potentiellement grave ».
Il a de plus fait remarquer que cette maladie donnera l’occasion de
tester le système de réaction de la communauté des nations face à une
pandémie, mis en place depuis 2007. Enfin, il a plaidé pour la solidarité entre les nations, et notamment envers les nations pauvres, particulièrement vulnérables.
Organisation mondiale de la santé


L’OMS coordonne actuellement la réponse mondiale aux cas de grippe A(H1N1) et évalue la menace de pandémie.
À partir du 24 avril, l'OMS fait paraitre un bulletin d’information quotidien[85].
Le Comité d’urgence (regroupant une quinzaine d’experts internationaux) a tenu sa deuxième réunion le 27 avril 2009, au cours de laquelle ont été examinées a été décidé de faire passer la phase d’alerte à une pandémie de grippe de la phase 3 à la phase 4 (signifiant que la probabilité d’une pandémie a augmenté, mais non qu’une pandémie est inévitable.)[86]
Le 29 avril 2009, le Directeur général de l’OMS, suite à la décision du Comité d’urgence, a pris la décision de faire passer la phase d’alerte à une pandémie de grippe de la phase 4 à la phase 5[87].
Suite à cette épidémie, l’OMS planifierait des modifications
importantes dans son système d’alerte, plus spécifiquement des critères
de passage de l’alerte 5 à l’alerte 6. Les critères actuels de la phase 6 prévoient une implantation durable du virus dans au moins 3 pays.
Ceux-ci seraient, de l’avis général, déjà atteints depuis un bon moment
et on peut déjà parler de pandémie. Cependant, le passage à la phase 6
prévoit aussi des mesures d’urgence exceptionnelles telles que la
mobilisation internationale des laboratoires pour la production d’un
nouveau vaccin. Ces différentes mesures seraient un frein considérable
au combat contre les souches courantes de grippe qui sont pourtant,
selon les observations recueillies, approximativement aussi dangereuses
que la nouvelle souche et causeraient donc plus de mal que de bien dans
le cas présent.
L’OMS prévoyait de tenir compte du danger approximatif du virus avant le passage en phase 6
pour éviter les mesures d’urgence et l’anxiété générale à l’annonce
d’une pandémie, en intégrant la dangerosité (en termes de mortalité)
dans les décisions de passage d’une phase à une autre[88].
Le 11 juin 2009, l’OMS a décidé le passage en phase 6[89][90], l’état de pandémie est déclaré.
Le 17 juillet 2009,
l'OMS cesse son dénombrement systématique des cas confirmés. Entre
autres parce qu'il est extrêmement difficile, voire impossible, pour
les pays d’essayer de confirmer tous les cas en laboratoire. Le
traitement par antiviraux classique pour les cas d'influenza A étant
efficaces sauf exceptions rares [91],
l'identification de la souche exacte H1N1 n'est pas nécessaire au
traitement des patients alors qu'elle exige énormément de ressources.
L'OMS recommande néanmoins de rester vigilant afin de détecter
rapidement d'éventuels pics dans les cas, qui pourraient résulter d'une
nouvelle mutation de la maladie. L'OMS demande aussi aux pays
nouvellement touchés de lui transmettre le cumul des cas identifiés sur
une base hebdomadaire dans un premier temps[92].
Nazim06
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