Et si on parlait des harragas
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Et si on parlait des harragas
LES «BRÛLEURS» DEVANT LE PUPITRE
Depuis quelques mois, il ne passe pas une semaine sans que l'on apprenne que des Algériens, par dizaines, sont interceptés alors qu'ils tentent de quitter le pays clandestinement par la mer. Un record a été battu fin août au large de Annaba, avec l'interception de 103 harraga, littéralement «brûleurs» ! Hier, 28 personnes ont été arrêtées - puisque la tentative de quitter la frontière nationale maritime de manière clandestine est désormais un délit - à Aïn Témouchent. Risquer de se brûler les ailes, périr dans l'eau ou, dans le meilleur des cas voir la petite fortune déboursée pour la traversée de la Méditerranée en un investissement infructueux et se voir arrêté en «qualité» de criminel. Pendant ce temps, le gouvernement, avec son département de la Solidarité nationale, annonce l'organisation d'une rencontre, prévue samedi prochain, pour débattre de l'émigration clandestine ! Discourir et criminaliser… Allant de l'extrême légèreté de vouloir régler dans des salons feutrés un phénomène né du magma de problèmes que vit la jeunesse algérienne, à l'extrémisme dans le traitement de la question par la répression. L'une et l'autre option sont totalement inefficientes. L'on rapporte que des harraga ont lancé au juge, qui venait de les inculper à une peine de prison, qu'ils remettraient ça… Pour dire que la répression ici n'est nullement dissuasive ; et la preuve en est donnée régulièrement avec ces arrestations de harraga. Quand aux paroles derrière les pupitres, elles semblent avoir pour unique objectif de donner l'impression que l'on prend en charge un dossier encombrant qu'on aimerait vite classer dans un tiroir sans fond. Comme pour les fameuses commissions qu'on crée, suite à des faits de grande gravité, toutes sans lendemain. A la différence que la harga n'est pas un acte arrêté dans le temps mais un phénomène qui perdure en se compliquant en parallèle à la crise généralisée que vit le pays.
Par Cherif Berkache - Courrier d'Algerie
Depuis quelques mois, il ne passe pas une semaine sans que l'on apprenne que des Algériens, par dizaines, sont interceptés alors qu'ils tentent de quitter le pays clandestinement par la mer. Un record a été battu fin août au large de Annaba, avec l'interception de 103 harraga, littéralement «brûleurs» ! Hier, 28 personnes ont été arrêtées - puisque la tentative de quitter la frontière nationale maritime de manière clandestine est désormais un délit - à Aïn Témouchent. Risquer de se brûler les ailes, périr dans l'eau ou, dans le meilleur des cas voir la petite fortune déboursée pour la traversée de la Méditerranée en un investissement infructueux et se voir arrêté en «qualité» de criminel. Pendant ce temps, le gouvernement, avec son département de la Solidarité nationale, annonce l'organisation d'une rencontre, prévue samedi prochain, pour débattre de l'émigration clandestine ! Discourir et criminaliser… Allant de l'extrême légèreté de vouloir régler dans des salons feutrés un phénomène né du magma de problèmes que vit la jeunesse algérienne, à l'extrémisme dans le traitement de la question par la répression. L'une et l'autre option sont totalement inefficientes. L'on rapporte que des harraga ont lancé au juge, qui venait de les inculper à une peine de prison, qu'ils remettraient ça… Pour dire que la répression ici n'est nullement dissuasive ; et la preuve en est donnée régulièrement avec ces arrestations de harraga. Quand aux paroles derrière les pupitres, elles semblent avoir pour unique objectif de donner l'impression que l'on prend en charge un dossier encombrant qu'on aimerait vite classer dans un tiroir sans fond. Comme pour les fameuses commissions qu'on crée, suite à des faits de grande gravité, toutes sans lendemain. A la différence que la harga n'est pas un acte arrêté dans le temps mais un phénomène qui perdure en se compliquant en parallèle à la crise généralisée que vit le pays.
Par Cherif Berkache - Courrier d'Algerie
lebougiote- Membre Actif
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Re: Et si on parlait des harragas
les haraga c'est les gens faible de personalité : :roll: :
RONNY- Membre Actif
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Re: Et si on parlait des harragas
ربي ايكون معاهمya mr ronny tu dit quil sont faible de personalitè mais pour faire la traverssai de la mort il faut vraiment un enorme courage que ches les personne a faurte personalitè leur manque .moi je n'aprouve pas mais je dit respec
simo_slash- Nombre de messages : 965
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Re: Et si on parlait des harragas
il faut plutot chercher les raisons ki les poussent a ça, et blamer les gens ki sont respensable de ce nouveau phenomene!!!!!!
Re: Et si on parlait des harragas
le courage ??simo_slash a écrit:ربي ايكون معاهمya mr ronny tu dit quil sont faible de personalitè mais pour faire la traverssai de la mort il faut vraiment un enorme courage que ches les personne a faurte personalitè leur manque .moi je n'aprouve pas mais je dit respec
ou est le courage de partir et tout laisser deriere toii
le courage c'est quand on reste et on assume sa vie , sa nationalité et sa personalité telle que dieu nous l'offre
djramzy- Membre Actif
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Re: Et si on parlait des harragas
djramzy a écrit:
le courage ??
ou est le courage de partir et tout laisser deriere toii
le courage c'est quand on reste et on assume sa vie , sa nationalité et sa personalité telle que dieu nous l'offre
Ahhh bon !!! C'est pas le Ramzy que je connais la :-)
arrissou- Membre Actif
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Re: Et si on parlait des harragas
djramzy a écrit:le courage ??simo_slash a écrit:ربي ايكون معاهمya mr ronny tu dit quil sont faible de personalitè mais pour faire la traverssai de la mort il faut vraiment un enorme courage que ches les personne a faurte personalitè leur manque .moi je n'aprouve pas mais je dit respec
ou est le courage de partir et tout laisser deriere toii
le courage c'est quand on reste et on assume sa vie , sa nationalité et sa personalité telle que dieu nous l'offre
c sure que c ramzy qui parle la ?? g des doutes ça ne lui ressemble pas
Re: Et si on parlait des harragas
tkt sa roule toujours pour le 4 avril :eutoi :sofiane9.7 a écrit:djramzy a écrit:le courage ??simo_slash a écrit:ربي ايكون معاهمya mr ronny tu dit quil sont faible de personalitè mais pour faire la traverssai de la mort il faut vraiment un enorme courage que ches les personne a faurte personalitè leur manque .moi je n'aprouve pas mais je dit respec
ou est le courage de partir et tout laisser deriere toii
le courage c'est quand on reste et on assume sa vie , sa nationalité et sa personalité telle que dieu nous l'offre
c sure que c ramzy qui parle la ?? g des doutes ça ne lui ressemble pas
quand boutefk auras son 3eme mondat , nous seront sur les cotes italienne :wink: :wink:
djramzy- Membre Actif
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Localisation : Couvert A , Tribune Boulogne
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Re: Et si on parlait des harragas
oui c sa, je hais grave le jour de vote, le jour ou le temp s'arrete, le jour ou on a envie de mètre une corde sou le cou.
pefffff rien ke dy pensai jai les frisson, ya latiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiif.
pefffff rien ke dy pensai jai les frisson, ya latiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiif.
ici-c-bougie- Membre Actif
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Re: Et si on parlait des harragas
le jour ou meme quand on a pas cours on vas a l'ecole :eusa: :-)ici-c-bougie a écrit:oui c sa, je hais grave le jour de vote, le jour ou le temp s'arrete, le jour ou on a envie de mètre une corde sou le cou.
pefffff rien ke dy pensai jai les frisson, ya latiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiif.
J.Debbouze
djramzy- Membre Actif
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Localisation : Couvert A , Tribune Boulogne
Date d'inscription : 14/05/2008
Re: Et si on parlait des harragas
:mdr: :mdr: :up:
ici-c-bougie- Membre Actif
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Age : 38
Localisation : FOX RIVER
Date d'inscription : 03/12/2008
Re: Et si on parlait des harragas
quant je voit des gens diplomes aux chomages depuis plus de 5 ans je me pose boucoup de question , ils ont meme pas de l'argent pour prendre un café!
achill42- Nombre de messages : 501
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Localisation : la numidie
Date d'inscription : 26/09/2008
Re: Et si on parlait des harragas
Rastacool a écrit:Moi je me prepare a quitter le pays en flouk :-030-:
stttp prend moi avec toi né3ya g tmourth ayii
Re: Et si on parlait des harragas
Pour embarcation illégale à bord d’un bateau
Cinq personnes arrêtées au port de Béjaïa[size=9]
Cinq personnes arrêtées au port de Béjaïa[size=9]
Tentant de rejoindre illégalement l’autre rive de la Méditerranée, cinq personnes âgées entre vingt et vingt-cinq ans, ont été interceptées mercredi après-midi au port de Béjaïa à bord du car-ferry El-Djazaïr, apprend-on de source sûre. Selon la même source, les cinq jeunes arrêtées se sont introduits à bord du bateau dans la soirée du mercredi, soit quelques heures seulement avant que le car-ferry ne prenne le large à destination du port de Genova, en Italie. Ce sont des travailleurs de l’entreprise de réparation navale de Béjaïa qui ont découvert les cinq clandestins avant d’alerter les services de sécurité qui les ont mis aux arrêts. Ils devraient être présentés aujourd’hui, samedi, devant le parquet pour embarcation illégale à bord d’un bateau.
Signalons par ailleurs que le car-ferry El-Djazaïr, se trouvait depuis le 23 du mois en cours, à bord du dock flottant de l’Erenav de Béjaïa pour subir des travaux de réparation et a pris le large à destination de Genova, le jeudi.
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