En Algerie...!!!

OPETH a écrit:

massi a écrit:L’hopital khlil aamrane pour moi c’est un cimetière et non un hôpital, une négligence totale, ils n’ont aucune conscience, si j’ai dit ca c’est parce que deux de membre de ma familles ont vécu l’enfer dans cet hôpital, l’un deux est condamné à prendre de calcium sindose a vie et l’autre ils l’ont condamné mais grâce a l’effort de toute la famille ont la évacué a l’hôpital d’Alger et dieu merci il est toujours vivant , alors les responsable de l’hôpital de Bejaia doivent êtres condamnes

Vive celui de Oued amizour ( Boukhalfa) :8-):

Très propre,
Le respnsable passe a chaque fois pour verifié le travail des medecins et des fonctionnaires. c'est serieux.

+1

le chf service qui a répondu sa ce vois que c un keddab 100% , je ne sais pas comment ils font pour dormir trankilement ...meme pas une conscience !! yakhi bled yakhi

aya rebbi j'espere kan ils vont pas venir au stade vendredi prochain

place_guydon a écrit:aya rebbi j'espere kan ils vont pas venir au stade vendredi prochain

:bob2:

NaSSiLyaH a écrit:Un jeune Algérien s'est tranché le sexe pour
protester contre le «chômage et l'exclusion», a annoncé jeudi le
quotidien arabophone El Khabar. «Le geste de A. Lekhmissi, 23 ans, est
au centre de toutes les conversations à Bordj Bou-Arriridj », une des
principales villes de l'est algérien, affirme le quotidien. "C'est un
geste de colère et de désespoir", ont affirmé ses proche. Le mutilé a
été admis dans un hôpital de la ville, où il est interdit de lui rendre
visite.

"Le chômage, l'exclusion, les conditions
sociales contraignantes et la dépression sont la cause de cet acte,
affirme la famille de Lekhmissi. N'ayant pas les moyens des harraga, il
a voulu adresser un message singulier traduisant la détresse des jeunes
Algériens", souligne El Khabar. Le jeune mutilé appartient à une
famille pauvre de huit enfants, dont seul l'aîné n'est pas au chômage,
selon le journal.


Si c'est pas malheureux cela quand meme, c'est aller trop loin dans la bétise humaine. Sans commentaire, c'est trop triste :?:

Oh la la la :oops: :?: c'est vraiment Triste :?:

:?:

grand d'esepoire des jeunes algeriens sa f vrmnt mal

wech sofiance fan de benzerma ??? mdr

Scandale à l’université de Tizi-Ouzou
Harcèlement sexuel contre une étudiante de 2e année

"Je vais t’aider pour ta taille, tes yeux et ta beauté," lui aurait dit ce dernier, avant de procéder à des attouchements qui paralysèrent la jeune fille. L’effet de surprise passé, elle le repousse et tente de fuir. A sa grande stupéfaction, la porte était verrouillée. Le professeur avait pensé à tout.

Ce sont pas moins de 5 000 signatures qui ont été récoltées, hier après-midi, en guise de soutien à une étudiante de 2e année LMD au niveau de la faculté de génie électrique et informatique, victime de harcèlement sexuel et d’attouchements de la part d’un professeur. Le mis en cause, professeur chargé des TP en électronique générale, ne serait pas à sa première affaire, selon les étudiants de GEI rencontrés sur place. "Suite à l’éclatement de cette histoire, plusieurs étudiantes ont témoigné contre ce professeur, sans pour autant aller jusqu’à déposer plainte contre lui", nous informent les membres du comité d’étudiants de la faculté de GEI. Ces derniers, à l’instar des autres départements, ont tenu des assemblées générales, pour dénoncer les agissements de l’enseignant mis en cause, le 27 du mois en cours. Après avoir entendu le témoignage de la victime, toujours traumatisée, l’ensemble des comités, CID, Cdge, Celn, Cdeth, Cdau en l’occurrence, ont décidé d’un plan d’action. Il s’agit du gel de tous les TP et TD et cours de l’enseignant en question, du lancement d’une pétition de témoignage sur les agissements du professeur et une autre pour sa radiation. Il est également prévu d’observer une journée de protestation, dimanche prochain, suivie d’un rassemblement au niveau de la porte principale de la faculté. Une marche aura lieu, le même jour, vers le rectorat de l’université. Un document sera remis au recteur qui, selon les étudiants, n’a pas été mis au courant de l’histoire. Du moins, pas encore officiellement. Le conseil de déontologie sera également touché pour exiger le passage du professeur en conseil de discipline. En parlant de l’histoire, tout a commencé, du moins pour cette étudiante, un certain 10 avril 2008. La victime ayant raté son 1er TP du semestre en cours, en raison d’un changement d’horaire de dernière minute, a sollicité le professeur en question pour l’admettre dans un autre groupe pour se rattraper. Ce dernier a accepté et à invité l’étudiante à le rejoindre par la suite au niveau du laboratoire télévision, réservé pour les 3e année Deua, sous prétexte de remettre des polycopies pour un camarade. Les camarades de la victime qui nous relatent le déroulement de l’histoire précisent que le laboratoire n’est pas occupé à cette période de l’année. Une fois sur place, la victime se retrouve seule avec l’enseignant en question. "Je vais t’aider pour ta taille, tes yeux et ta beauté," lui aurait dit ce dernier, avant de procéder à des attouchements qui paralysèrent la jeune fille. L’effet de surprise passé, elle le repousse et tente de fuir. A sa grande stupéfaction, la porte était verrouillée. Le professeur avait pensé à tout. Ce qui signifie que son plan était déjà fait auparavant, selon les camarades de la victime. Le professeur s’excuse et l’invite à se rasseoir en feignant d’être désolé. Ce que fit la victime. Mais son "tortionnaire" revient à la charge et tente encore d’autres attouchements, avant de se résigner à la relâcher. Traumatisée, la jeune fille se terre dans un mutisme inexpliqué et décide de ne pas assister aux TP d’après. Consciente que la fuite n’est pas la meilleure solution, la jeune fille décide de parler, le 21 avril dernier. Elle fait part de sa "mésaventure" à ses parents. Son frère se dépêche le jour même au niveau de la faculté pour avoir une explication avec l’enseignant d’électronique général, en vain. Le professeur s’est inscrit aux abonnés absents. Le lendemain, soit le 22 avril, le frère revient à la charge. Cette fois-ci, il tombe nez à nez avec le harceleur de sa sœur, à l’heure des TP. Le jeune homme a invité le professeur à discuter de l’"incident". Niant les faits, le professeur s’est retrouvé en pleine confrontation avec sa victime. Le frère de cette dernière pousse le professeur dans les vestiaires et lui profère des menaces, selon le témoignage même des agents de sécurité de la faculté qui disent qu’en aucun cas le professeur n’a été malmené ou agressé physiquement. Précisons que le professeur a prétendu, selon les étudiants, avoir fait l’objet d’une agression physique et aurait même déposé plainte. Il est également important de noter que l’étudiante en question, réticente au départ vu la nature de l’histoire, n’a pas encore déposé plainte contre son professeur.

Encouragée par la mobilisation de ses camarades et leur soutien dans cette démarche, la victime a consenti à dénoncer officiellement et par voie de justice les agissements de son professeur et de déposer plainte dans les jours à venir. La mobilisation est au rendez-vous, n’en déplaise à l’administration et à l’ensemble des professeurs qui ont opté pour la politique de l’autruche. Les étudiants se disent déçus et dénoncent fortement d’ailleurs la réaction du reste des professeurs qui ont également tenu une assemblée générale, où il a été décidé de soutenir leur collègue et la dénonciation de la "soi-disant agression dont a été victime ce dernier,” selon les étudiants de la GEI.



Samia Ayouni

Le service de neurochirurgie du CHU Ibn-Rochd de Annaba vient de convoquer un patient souffrant d’une tumeur cérébrale afin de subir une intervention chirurgicale. Une convocation qui n’a fait que réveiller la douleur des proches de ce malade, qui avait introduit sa demande d’une intervention chirurgicale en ... 2002 et qui, depuis, est décédé !

Le Soir d'Algérie

Chahloul : «J’ai été torturé, séquestré et forcé à signer»



«c’est le cauchemar de ma vie» Date : 04-05-2008/06h00
Réalisé par : Amina G.


En l'an 2008, certaines gens règlent encore leurs soucis en employant les grands moyens à savoir en venir aux mains ou pire encore, utiliser des armes pour parvenir à leurs fins. Ce temps-là, on le voit aussi en Irak, par exemple ou dans les pays qui sont en guerre.
Mais, on ne le rencontre pas dans le monde du football. Du moins c'est ce qu'on croyait jusqu'à hier. Le cauchemar qu'a vécu ce jour-là Chahloul à Blida n'a existé dans aucune autre contrée. Tout a commencé à la reprise des entraînements hier matin à Tchaker. Les coéquipiers de Diss ont repris les entraînements pour préparer le match de demain avec détermination pour gagner le rendez-vous et sauver le club du purgatoire. Des supporters venus voir à l'œuvre le groupe étaient très en colère. Normal, diriez-vous, pour un public qui veut voir son team rester dans la cour des grands. Mais ce qui nous a interpelés, c'est de voir ce public se déchaîner sur une seule personne, le goleador Chahloul. Les fans ont traité ce dernier de tous les noms d'oiseaux. A leurs yeux, Chahloul ne devait pas négocier avec d'autres clubs alors le sien n'est pas encore assuré de rester en D1. Ce qui est compréhensible. Mais là où le bât blesse, c'est ce qui s'est passé après.




«c’est le cauchemar de ma vie»

Il a été molesté par des supporters acharnés. Il est venu nous voir au siège de notre rédaction pour nous relater ce qu'il a vécu hier matin à Tchaker.

- Peut-on savoir ce qui vous est arrivé hier matin à Tchaker ?
- Le cauchemar de ma vie. Zaïm est venu me voir pour me traiter de lâche, car pour lui, je suis parti négocier avec Menadi et que j'aurais même signé un contrat. Je lui ai dit : comment j'aurais pu signer un contrat avec un président démissionnaire ? Il a donc pris le téléphone et appelé Berber pour lui demander de venir avec un contrat. Il m'a signifié que pour prouver ma bonne foi, je devais signer à Blida.
- Et qu'est-ce que vous lui avez dit ?
- Je lui ai dit que j'avais un manager que je devais d'abord aviser. Achouri est mon agent et c'est lui qui s'occupe de ma carrière. Moi, je me concentre sur mon travail et rien d'autre.
- Avez-vous signé avec l'USMB ?
- Effectivement, j'ai signé un contrat et même deux décharges, l'une pour 150 millions de centimes et l'autre de 10 millions. Le président m'a dit que si je voulais aller ailleurs, je dois d'abord rendre l'argent que je n'ai pas pris.
- Comment avez-vous paraphé votre contrat, alors que vous avez déclaré auparavant que vous vouliez prendre votre temps en ce qui concerne votre avenir ?
- Ecoutez ! Je n'ai pas signé ce contrat de mon propre gré, mais sous la menace de mort. Un homme a mis un couteau sous ma gorge, puis j'ai été électrocuté et enfin aspergé d'un produit soporifique (probablement une lacrymogène) qui m'a mis dans les pommes. Alors, l'un d'eux a pris ma main afin de me faire signer le document.
- Et qu'est-ce qui s'est passé ensuite ?
- Une fois le contrat et les décharges signés, le président m'a dit qu'il serait derrière la fin de ma carrière. Il m'a dit qu'il me retiendra à Blida juste pour me faire voir de toutes les couleurs. Je n'ai pas pu ni voulu placer le moindre mot pour ne pas risquer ma vie.
- Et vos camarades dans tout cela ?
- Certains étaient abattus mais ne pouvant rien faire, ils sont partis me laissant seul entre les mains de mon bourreau. Mais certains d'entre eux acceptaient ce qui m'arrivait.
- Où était Smaïl Diss, le capitaine de l'équipe ?
- Présent, mais absent, car il n'a rien fait pour me venir en aide. Comme vous le voyez, j'ai reçu plusieurs coups mais il n'y avait pas un qui pouvait me donner un coup de main.
- Et le staff technique dans tout cela ?
- Le coach est passé à côté de moi sans lever le petit doigt. Pourtant, je suis l'un de ses protégés et il se devait de réagir ! Mais Ifticène n'a rien fait.
- Et quelle a été votre réaction quand vous avez quitté Blida ?
- Je suis descendu sur Alger pour aller à Hussein-Dey voir les responsables des droits de l'Homme. J'ai déposé plainte aussi contre le président Zaïm. Ce qui est certain, je ne reviendrai plus à Blida.
- Donc, c'est la fin de saison pour vous, n'est-ce pas ?
- Absolument. Je n'ai plus rien à faire à l'USMB. Et même si le contrat sera validé, je suis apte à passer une année blanche et même arrêter, une fois pour toutes le football.
A. G.

:shock: :shock: :shock: , ya plus rien a dire .
cet article ne devrait pas etre dans le topic politique et economie , c'est une insulte envers ce joueur et tout ce qu'il a enduré .

:shock: :shock:

c'est quoi cette affaire ? il doit porter plainte

si c'est vrai (dailleur je suis persuader que c'est vrai a 1000% )le preisident ZAIM doit etre poursuivi en justice et meme il merite la prison cet energuméne

:shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock:
3jaiib wa gharaiibe je suis ému le pauvre chahloule :(:

place_guydon a écrit:si c'est vrai (dailleur je suis persuader que c'est vrai a 1000% )le preisident ZAIM doit etre poursuivi en justice et meme il merite la prison cet energuméne

L'injustice plutot ouii, franchement c'est un type qui a plein d'usines du coté de blida tu ne penses pas qu'il a des passes droit comme tout les mafiosis qui gérent ce pays, l'injustice (corromue jusqu'a la moelle) va le relaxer et il s'en tirera comme tout ceux qui ont massacrés de populations, détourné de millards etc...il n'y a que le bon dieu li yenjemlhoum hada makan

ZAIM est un agent de pouvoir donc il risque rien dans un pays ou l’injustice au-dessus de la justice (donnez le troisième mondât..[.....])

:ccomeça: :ccomeça:
Vous pouvez même supprimer tout le message

:noudam: :noudam:

Il fait pitié meskine :(:

que justice soit rendue :evilvery: :mad:

RCK-USMH - Les arbitres tunisiens déposent plainte
competition.dz
Les trois arbitres tunisiens, qui avaient dirigé le derby RCK-USMH, ont déposé une plainte contre un député RND proche de la formation koubéenne. Selon des sources policières, ce député aurait approché les arbitres de ladite rencontre en vue d'arranger le résultat en faveur du Raed.

:oops: :oops:

:mdr: :mdr: