Re: Bejaia telle qu'elle évolue

par **Ouled El Hamra** Lun 13 Oct - 0:29

ya pas de quoi tonton :ltombé:

par **boulevard boy** Mar 14 Oct - 21:50

Béjaïa
Des vestiges qui attestent d’un passé rayonnant

Bejaia telle qu'elle évolue - Page 11 1939_61614

Située au cœur de la Méditerranée, capitale du Maghreb au temps des Hammadites, Béjaïa, que certains qualifient de perle de l’Afrique du Nord, a été après avoir servi de comptoir aux Phéniciens, instituée en l’an 27 avant J.C, colonie romaine sous le nom de Saldae.

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Avant d’être conquise par les Musulmans au IXe siècle, elle fut envahie entre autres par les Vandales et les Bizantins.

En 1067 le prince Ennacer, fils d’Alennas Ben Hammad en fit une capitale rayonnante et lui attribua le nom de Naciria.

En 1510, les Espagnols démolirent les deux tiers de la ville. En 1555 Salah Raïs la reprendra aux Espagnols. Après l’occupation turque, la ville tombe de nouveau entre les mains des Français de 1833 jusqu’en 1962, date de la libération du pays.

Après le prince hammadite Ennacer, qui y transférera la capitale de son royaume de la Qualaâ des Beni Hammad, Béjaïa a été la ville de beaucoup de grands hommes qui marqueront leurs époques sur le plan de la religion, de la science ou de la culture. Parmi ces illustres hommes, on peut citer :

Ibn Toumert, religieux réformateur qui a été le premier vers 1117 à prononcer les prêches de la prière du vendredi en berbère.

Sidi Boumedienne (1126 - 1197), Grand du mouvement mystique maghrébin (soufi).

Abdelhak Al Isbili, grand juriconsult à Béjaïa qui mourut en 1186.

Al Ourashi (mort en 1184), grand mathématicien qui a donné des cours d’algèbre supérieur à Béjaïa.

Ibn Hamad (1150 - 1230), Historien et intellectuel à Béjaïa

Leonardo Fibonacci (1170 - 1240), Grand mathématicien d’Occident qui a appris à Béjaïa le système de numérotation et les méthodes de calcul.

Ibn Khaldoun, Le père de la sociologie a enseigné la jurisprudence à la Kasbah de Béjaïa et a été Premier ministre sous le prince Abou Abdellah Al Hafsi.

Sidi Touati (1375-1475), Célèbre pour avoir fondé la première université à Béjaïa

El Ouartilani, Il a enseigné le droit, la grammaire, le coran et le hadith à Béjaïa.

Cheikh Sadek El Béjaoui, Grand maître de la musique algérienne, il a formé plusieurs générations d’artistes.

S’agissant de vestiges qui attestent de la grandeur et du rayonnement par le passé dans les domaines scientifiques, religieux et culturels, ils sont nombreux mais même s’ils sont encore debout, ils demandent tous à être sauvegardés et restaurés de toute urgence.

La Casbah, elle abrite la mosquée où Ibn Khaldoun a donné ses cours de jurisprudence. Même s’ils ont aujourd’hui disparus, les minarets de cette mosquée étaient si hauts qu’ils étaient, selon certains sources, visibles depuis Bir-Es-Salem à l’entrée de la ville.

Bir-Es-Salem, puits de la paix, puisqu’à l’époque, pour entrer dans Béjaïa, ville aux 99 saints, le visiteur, s’il devait se purifier pour la prière, notamment celle de la 27e nuit du Ramadhan, l’eau de Bir-Es-Salem était tout indiquée à cet effet. Pour mettre en relief toute la ferveur religieuse qui régnait dans la Béjaïa médiévale, les sources soulignaient l’importance du nombre de fidèles pendant les nuits du Ramadhan, et notamment la 27e, celle dite du destin par l’ampleur de la place nécessaire à ces derniers pour exprimer leur reconnaissance au créateur, cette place, qui comprenait une dizaine d’hectares, allait de l’actuelle mosquée Sidi-Abdelhak jusqu’à la montée vers El Houma Oubazine (ou Houmet El Bizane) englobant aussi l’emplacement de l’actuelle prison, de groupement de gendarmerie, de la rue de la Liberté et du boulevard Ibn Khaldoun. De nos jours, la Casbah, bien qu’ayant subi quelques aménagements, reste envahie par les mauvaises herbes, Bir-Es-Salem s’est tari depuis belle lurette, de la grande place de prière, il ne reste que Sebaâ Ouachrine.

Les rempart hamadites

Construits sous forme de triangle ayant pour base le port, ils ceignaient la capitale Naciria, qui, à l’époque où la plupart des métropoles actuelles n’étaient que de simples bourgades, comprenait déjà, selon l’historien Mouloud Gaïd, pas moins de 100 mille foyers, c’est-à-dire autant que maintenant sinon plus. Les murs dont les reliques sont encore visibles depuis la mer sont percés de plusieurs portes dont Bab El Bounoud (Bab El Fouka) et la porte Sarrazine (Bab El Bahr). Un livre sur l’histoire de Béjaïa, édité par ce ministère de la Culture, mentionne que le roi Hammadite aimait se tenir en amont de Bab El Bounoud pour jouir du spectacle des caravanes chargés de richesses qui entraient dans sa ville. Quant aux marchandises venant par la mer, c’était par Bab El Bahr qu’elles étaient acheminées vers les magasins de la ville.

Bordj Moussa

Qui abrite le musée de Béjaïa et occasionnellement le “Centre de transmission du savoir” et dont l’esplanade pourrait, selon les instructions donnés par le wali, lors de sa visite sur site, servir à la projection de films ou à la tenue de soirées musicales, a toujours servi de bastion pour les différents envahisseurs de la ville, vers 1555 lorsque la ville était occupée par les Espagnols, sept Bougiotes “Er Djal Esbaâ” armés de pioches et surtout d’un courage incommensurable ont tenté à l’aide de leur pioches d’effectuer une brèche dans le mur du fort, qui avait plus d’un mètre d’épaisseur et était fait de briques réfractaires. Le premier des sept hommes à tomber sous les coups de l’ennemi s’appelait Moussa, d’où le nom du fort. En commémoration de cet acte héroïque, les femmes continuent à allumer, de nos jours encore, des bougies à l’endroit où sont tombés les sept valeureux guerriers.

L’édifice de Béjaïa le mieux situé, c’est sans doute l’ex-palais de justice, ce bijou architectural, après bien de péripéties est revenu au ministère de la Culture qui devait en faire, après quelques aménagements, une annexe de l’Ecole nationale des Beaux-Arts. La ministre de la Culture, en visite à Béjaïa, a donné, il y a plus de cinq années, des instructions fermes pour que l’annexe soit réalisée dans les meilleurs délais. Mais ce projet, qui a beaucoup de plomb dans l’aile va d’étude en étude sans jamais voir le jour. Béjaïa, près d’un demi-siècle après l’indépendance du pays ne possède toujours pas de vraies structures scientifiques, religieuses ou culturelles à la hauteur de son passé prestigieux.

B. Mouhoub

DDK

par **boulevard boy** Mar 14 Oct - 21:52

Béjaïa
Rassemblement d’adjoints de l’éducation

Des adjoints de l’éducation de la wilaya de Béjaïa ont tenu hier après-midi un grand rassemblement dans l’enceinte de la direction de l’education. L’objet de leur action de protestation est de porter haut et fort aux autorités concernées leurs revendications quant à leur statut particulier.

Recrutés pour la plupart d’entre eux durant les années 70, c’est-à-dire à l’époque où leur niveau d’instruction leur permettaient d’accéder à une fonction où à un emploi de leur choix, “ces indigènes de la Fonction publique” qui sont devenus aujourd’hui de véritables pères de famille, se voient à l’heure où ils s’attendaient légitimement à la promotion de leur situation sociale, “écartés de corps pédagogique, rétrogradés à la catégorie 7 et privés du droit à l’inscription sur la liste d’aptitude au poste de surveillant général.” Ces protestataires, qui ont choisi la demi-journée du lundi pour ne pas perturber la bonne marche de leurs établissements, attendaient, au moment où nous mettons sous presse, à être reçus par Mme la directrice de l’éducation à qui ils remettrons une lettre de recours à l’intention du ministère de l’Education.

B. Mouhoub

par **boulevard boy** Jeu 16 Oct - 2:08

Béjaïa
“Un exemple type de mal développement”

Bejaia telle qu'elle évolue - Page 11 1940_61651

"Notre wilaya est un exemple-type de sous-développement", le constat a été dressé par un élu FFS de l’APW lors de sa session ordinaire, tenue le 2 mars dernier et consacrée à la présentation du bilan des activités de la wilaya durant l’année 2007. Il s’agit là d’un constat sans complaisance et l’élu APW ne blaguait pas, car la situation socioé-conomique de la wilaya de Bejaïa est peu reluisante.

Pour preuve, plusieurs projets structurants, dont les objectifs recherchés consistent en la concrétisation de la dynamique de la relance économique fondée sur un développement durable et l’amélioration du cadre de vie de la population en pourvoyant notamment de nouveaux postes d’emploi et la prise en charge de leurs problèmes, tardent à voir le jour. En d’autres termes, plusieurs projets inscrits depuis belle lurette ne sont à ce jour pas encore réalisés.

A titre d’exemple la population hantée par le mot sous-développement, attend avec impatience l’érection d’un centre hospitalo-universitaire, une gare routière, un réseau routier répondant aux normes, du moins carrossables, une infrastructure portuaire et aéroportuaire devant répondre aux besoins d’un trafic de plus en plus dense, la pénétrante à l’autoroute Est-Ouest, l’alimentation des foyers en gaz de ville…

Et la liste des projets revendiqués par la population peut s’étirer à l’infini. De plus, la wilaya a été éprouvée par une incroyable avalanche de résolutions portant privatisation des entreprises publiques, lesquelles étaient pourtant performantes. L’on cite à titre d’exemple : Batimetal, Enajuc, ENCG…

La dernière en date, dont le sort demeure à nos jours dans le flou, est l’unité Grues de Béjaïa. La désindustrialisation dans la région prend de l’ampleur. Pis, les investisseurs fuient la région, à cause, disent-ils, d’un climat ‘‘délétère’’.

Un état des lieux qui nécessite des mesures urgentes à même de redonner espoir à une population qui croit qu’elle est boudée par les hautes autorités du pays, en constatant particulièrement l’incontestable décalage en termes de croissance économique avec les autres régions du pays.

Devant cette situation des plus éprouvantes, les élus de la wilaya tant au niveau local qu’à l’Hémicycle avec ses deux chambres et les pouvoirs publics viennent de prendre les choses au sérieux.

Ainsi, le wali a invité dernièrement les élus APW à collaborer avec les différentes directions de l’exécutif dans le souci, d’une part, de concrétiser les projets en souffrance et d’autre part, dresser un diagnostic exhaustif de la situation socio-économique de la wilaya afin de répondre aux besoins pressants de la population. Dans la même perspective, les parlementaires de la wilaya ont saisi les ministres des Travaux publics et celui de l’Energie et des Mines pour leur faire part de la situation de leurs secteurs respectifs au niveau de la wilaya de Béjaïa. L’initiative a été — on le souligne — saluée par le wali. Par ailleurs, les parlementaires ont été priés par le responsable de la wilaya à défendre, au moins, les projets inscrits auprès des hautes instances de l’Etat.

D. S

par **Ouled El Hamra** Jeu 16 Oct - 2:11

c'est vraiment maleureux de lire ça...et portant Béjaia est une ville de culture et de richesse qui n'es pas bien exploiter :ltombé:

par **Rastacool** Mar 21 Oct - 1:40

Le projet est officiellement inscrit, selon le wali
Béjaïa sera reliée à l’autoroute Est-Ouest
Par : A. HAMMOUCHE

“La réalisation de la pénétrante reliant Béjaïa à l’autoroute Est-Ouest est officiellement inscrite. Elle démarre de la commune d’El Adjiba sur une centaine de kilomètres avec notamment cinq échangeurs pour les grands centres urbains”, a affirmé le wali de Béjaïa au sujet de ce projet. Au niveau de la ville de la capitale des Hammadites, il est prévu également la construction d’une trémie au carrefour d’Aâmriw. Dans ce sillage, une étude, apprend-on, est lancée concernant le carrefour des Quatre Chemins en vue d’éliminer les problèmes de circulation qui se posent avec acuité. Ces annonces viennent en appoint à la réunion qui a eu lieu au siège de la wilaya s’articulant autour de l’étude de l’avant-projet de la pénétrante qui reliera Béjaïa à l’autoroute Est-Ouest. Étaient présents à cette rencontre de travail le P/APW, des députés et sénateurs, des membres de l’APW, les P/APC de plusieurs communes, le DTP et les Domaines.
Vu l’importance de ce projet structurant, le DTP, en collaboration avec le bureau d’études Saeti, se sont attelés à une présentation du projet.
Le tracé de la pénétrante traverse quinze communes et son étude a porté sur un linéaire de cent kilomètres. Il prévoit un schéma à quatre voies de 3,5 mètres avec cinq échangeurs au niveau d’Akbou, El-Kseur, Béjaïa et Sidi- Aïch. Pour cette dernière localité, vu l’étroitesse de la bande, il a été préconisé la réalisation d’un tunnel du côté de Maâla.
Au cours de cette rencontre, les préoccupations exprimées, notamment par les P/APC, ont porté sur les procédés d’expropriation et le montant des indemnisations des propriétaires.
Les P/APC ont aussi souhaité que ce genre de rencontre se renouvelle afin qu’ils soient informés des moindres détails et ce, dans l’optique, disent-ils, de mieux sensibiliser les citoyens sur ce projet et son importance. Ils ont également préconisé la limitation des constructions de traverses afin d’éviter les démolitions.
Au terme de cette réunion, une première pour un si gigantesque projet, il a été notamment fait appel à l’installation d’une commission de recours pour les expropriés et la mise en branle d’un groupe de travail et de suivi du projet, composé de représentants de la DTP, des P/APC, des élus APW et des députés.
Des réunions de concertation seront donc au menu pour accompagner, par des propositions, cet ouvrage. À noter qu’outre les nombreuses contraintes à lever, ce projet autoroutier, reliant Béjaïa à l’autoroute Est-Ouest, a pour origine Béjaïa et aboutit à El-Adjiba (échangeur) qui est en cours de réalisation. Le linéaire total de cet axe, dont les travaux ne sont pas encore entamés, est de cent kilomètres.
Enfin, le montant estimatif pour la libération de l’emprise et la réalisation de la liaison autoroutière reliant Béjaïa à l’autoroute Est-Ouest est évalué à cent milliards de dinars.

A. HAMMOUCHE - liberté -

par **Rastacool** Dim 16 Nov - 12:27

Préparation du plan quinquennal 2010-2014
Le wali de Béjaïa établit son diagnostic
Par :Rubrique Radar

Installée par le wali de Béjaïa il y a quelques mois, la commission portant sur le diagnostic réalisé présentera ses travaux aujourd’hui devant les élus locaux, les parlementaires et l’exécutif de wilaya. État des lieux, propositions et préparation du plan quinquennal 2010- 2014 seront au menu de cette rencontre qui aura lieu aujourd’hui au siège de la wilaya. Un plan de développement qui intervient après avoir identifié les contraintes majeures qui pourraient freiner ce plan d’action. Le wali de Béjaïa s’est engagé à faire associer les élus dans toutes les actions liées au développement local de la région.

Liberté

par **amineos** Lun 17 Nov - 20:51

Béjaïa va se doter d’un siège de wilaya et d’une gare routière ultramodernes

Béjaïa se développe. La wilaya va se doter d'un siège ultramoderne. Des consultations sont en cours avec de grands groupes étrangers de bâtiment et travaux publics pour construire un nouveau siège pour la wilaya. Selon nos informations, le français Bouygues et le chinois CSCEC ont été contactés par les services de l'urbanisme de la wilaya pour des consultations. Le site du futur siège de la wilaya de Béjaïa n'a pas encore été choisi, selon notre source. Situé dans le quartier d'El Khmis, l'actuel siège de la wilaya ne répond plus aux exigences de développement de la ville et n'offre pas de bonnes conditions d'accueil aux habitants.

Outre la construction d'un siège ultramoderne, Béjaïa va se doter également d'une gare routière moderne qui sera implantée dans le quartier des «Quatre chemins », à la sortie est de la ville. Cette gare permettra de réduire considérablement la présence des bus à l'intérieur de la ville où la circulation devient chaque année plus importante. Un autre projet de modernisation de la gare ferroviaire est en cours de préparation. Béjaïa devrait aussi construire son centre hospitalo-universitaire à Souk El Tennine et agrandir les capacités d'accueil de son université

par Itali@no Lun 24 Nov - 19:22

Aujourd'hui j'ai vu L'évolution de Criminalité dans notrte ville .

Un bijoutier s'est fait assasiné dans sa bijouterie en plein centre ville et au beau millieu de la journée Dabord Allah Irehmou Inchallah ou Ywesse3 Alih Inna llilah wa in ilayhi raji3oune, Mais celui qui a commis ce meurte :arrow:

par manelsky Lun 24 Nov - 20:09

Ah ouais un meurtre :shock: (allah yerahmou)... je suis par bus tout à l'heure mais je n'ai compris à ce qui se passait ... dis & les criminels chedouhoum?

par RedMan06 Lun 24 Nov - 20:11

C'est le Bijoutier Maouchi allah irahmou.
Un crime crapuleux qui a eu lieu entre 12h et 13h à peut prêt. Des voleurs se sont introduits dans sa bijouterie et l'ont assassiné pour ensuite le cambrioler. Le pauvre, il parait qu'on l'a égorgé :mad:

par manelsky Lun 24 Nov - 20:20

... Allah akbar ... allah akbar ... allah akbar ...

par MARCO_POTEAU Lun 24 Nov - 22:16

J'ai sû à travers mes parents qu'il ya eut un meurtre au Boulevard Amirouche aujourd'hui (24 nov 2008),il s'agissait de Mohamed Maouchi le Bijoutier,allah iRRahmou.

par **Rastacool** Lun 24 Nov - 22:57

Ellah ira7mou ou iwessa3 a3lih, c'est un crime odieux ...

L'information existe sur un topic identique . :arrow:

par SIXONINE Lun 24 Nov - 23:52

Un bijoutier égorgé en plein jour

Scène d’horreur à Béjaïa-Ville. Un homme a été tué en plein jour à l’intérieur de sa boutique. Sa fille lui apportant son déjeuner s’est inquiètée de ne pas le voir venir à sa rencontre. Elle escalade la soupente et manque de défaillir d’effroi devant le spectacle qui s’offrait à ses yeux : son père gisant sans vie dans une mare de sang.

L’alerte est donnée aux environs de 13 h 15. Bientôt toute la ville ne parle plus que de ça. Des voisins hagards, des policiers sur les dents bouclent le périmètre, une atmosphère lugubre. Impossible d’arracher à quiconque un témoignage circonstancié. Tout semble s’être déroulé en un éclair. Personne n’a rien vu, personne n’a rien entendu jusqu’au moment où la malheureuse a donné l’alerte : égorgé ? Poignardé ? On ne savait pas trop. La victime : Mohamed M., 68 ans, bijoutier de son état, tenant commerce au boulevard Amirouche, face aux fameuses arcades.

" Habituellement, entre 12 et 13 h, sa fille et un autre employé s’en vont déjeuner … ", dit quelqu'un à la cantonade. Il ne sera pas plus disert. Le (ou les) assassin (s) semblent être bien au fait de ce détail et avoir profité de ce moment de solitude pour opérer. Du nombre de ces derniers on ne sait rien et encore moins sur leur mobile.

L’hypothèse d’un hold-up sanglant semble écarté au profit de celle d’un règlement de comptes.

Même si les policiers veillaient jalousement sur les lieux du crime, la vitrine laissait entrevoir un achalandage qui ne semble pas avoir subi un quelconque “abordage.”

A l’intérieur ? La Police scientifique et le parquet procèdaient aux enquêtes d’usage. C’était le topo hier à l’heure où nous mettons sous presse. Devant le mutisme de la police, les rumeurs allaient déjà bon train. La bijouterie serait équipée d’un système de surveillance vidéo interne. Le défunt a procédé à son installation à la suite d’une tentative d’agression dont elle aurait été victime l’année dernière, affirme-t-on.

La scène du crime aurait-elle été filmée ? Non probablement, puisque le meurtre se serait déroulé dans la soupente. Mais la police serait sur une piste sérieuse : la caméra a filmé les mouvements d’entrées et de sorties durant la tranche horaire de 12 à 13 h, heure lors de laquelle le crime a été commis.

Nous y reviendrons.

par **Rastacool** Lun 24 Nov - 23:55

Ellah ira7mou .

par **Ouled El Hamra** Mar 25 Nov - 0:21

athirhem rebbi wa assndifk rebbi assber ilfamiliya yness :mygod :

par SIXONINE Mar 25 Nov - 0:26

Inchallah ya rebi :mygod :

L'on se demande comment une telle agression a pu se produire à une heure de la journée et dans une rue aussi fréquentée d'autant plus que cette bijouterie est très connue sur la place de bejaia

par simo_slash Mar 25 Nov - 1:28

ellah yerahmou jai entendue un bruit qui coure que cetai 2 femme qui l'on egorger reste a confirmeè

par **Ouled El Hamra** Mar 25 Nov - 2:27

deux femmes :shock:

par SIXONINE Mar 25 Nov - 10:06

Ellah irahmou :mygod :

par RedMan06 Mar 25 Nov - 11:55

SIXONINE a écrit:Inchallah ya rebi :mygod :

L'on se demande comment une telle agression a pu se produire à une heure de la journée et dans une rue aussi fréquentée d'autant plus que cette bijouterie est très connue sur la place de bejaia

Les deux tours du World Trade Center ont été explosé en plein jour dans le pays le plus sûr au monde...

par djramzy Mar 25 Nov - 15:24

RedMan06 a écrit:
SIXONINE a écrit:Inchallah ya rebi :mygod :

L'on se demande comment une telle agression a pu se produire à une heure de la journée et dans une rue aussi fréquentée d'autant plus que cette bijouterie est très connue sur la place de bejaia

Les deux tours du World Trade Center ont été explosé en plein jour dans le pays le plus sûr au monde...

melange pas meurtre et coup d'états et algerie et amerique :cassgueul:

par arrissou Mar 25 Nov - 15:46

Allllah Irahmou .. :| : Et dire que c'est un proche a mon ami intime ..

Allah irahmou :mygod : :mygod : :mygod :

par **Ouled El Hamra** Mar 25 Nov - 17:32

athirhem rebbi

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